100 photos inédites du Japon - L'Archipel comme vous ne l'avez jamais vu
Le Japon compose avec son lot de clichés. Il suffit de taper « photos du Japon » sur un moteur de recherche pour constater à quel point notre vision de l’Archipel est monolithique : des cerisiers en fleur, le mont Fuji, des torii rouges, une femme en kimono... Qu’est-ce que cela dit du Japon ? Mais surtout, qu’est-ce que cela dit de nous ?
TEMPURA est né de cette volonté de briser ces clichés exotisants, tout en mettant en avant le travail des photographes qui accompagnent nos journalistes. Loin de n’être qu’un support d’illustration aux mots, l’image raconte aussi une histoire, et se suffit bien souvent à elle-même.
En quatre ans, nous avons accumulé des milliers de photos aux quatre coins de l’Archipel, mais aussi d’innombrables portraits d’artisans, d’artistes, d’écrivains, d’activistes, de gangster et de faux rebelles, de japonais ordinaires aux histoires extraordinaires. Ces images d’un Japon qu’on voit rarement dans les médias font la renommée de notre magazine, et forment l’essence de notre ligne éditoriale : montrer un Japon différent des clichés habituels, un brin décalé, mais sans doute bien plus ancré dans le réel.
Le support magazine étant par essence limité, nous avons conservé ces photographies, jamais publiées jusque-là, dans l’espoir d’un jour pouvoir vous les monter. Pour cette édition spéciale, nous avons sélectionné 100 photographies, qui reflètent notre vision du Japon : brut, intimiste, sans tabous, parfois excentrique, toujours sensible et incarné. Des photos issues tant de nos reportages que de nos archives personnelles lors de nos voyages d’exploration, pour vous faire passer dans l'envers du décors de la fabrication d'un magazine sur le Japon. Le tout dans un format inédit et collector, plus grand, entièrement repensé pour l’occasion.
100 photos légendées mais sans commentaire, avec une citation tout au plus, pour laisser au lecteur la place de créer son propre imaginaire. On dit souvent qu’une image vaut 1000 mots. Libre à chacun d’écrire son récit japonais, et d’y accoler les images qui lui semblent les plus justes.